À propos des services de Leucan

Accueil en centre hospitalier

Julie [conseillère de Leucan] et les oncologues sont tous chaleureux comme s’ils étaient les parents de Vincent. Ils sont proches comme ça. Tout le monde parle à Vincent comme une personne de la famille, pas comme des spécialistes. Ce sont des petits papas et des petites mamans pour Vincent. On tombe tout de suite dans l’aide, aussitôt que le médecin ouvre la bouche. C’est une petite famille. À l’hôpital on décompresse parce qu’on est avec d’autres personnes qui sont comme nous. Quand on est là-bas, on est vraiment dans notre petit monde.

Accompagnement et soutien affectif

Chaque famille a un besoin différent, et Leucan va leur apporter ce qui leur apporte du bonheur à eux spécifiquement. Leucan va toujours s’informer auprès de nous : « Comment ça va, as-tu besoin de quelque chose, est-ce qu’il y a quelque chose qui te ferait plaisir? » Leucan permet de se retrouver dans les activités ensemble. Ça fait du bien, ça fait tellement du bien. Leucan va chercher tous les besoins des familles et leur donne ce qui leur faut pour être heureux. Pas juste pour « arriver ». Pour être bien, pour se sentir mieux.

Activités sociorécréatives

J’aime parler avec le monde qui vit les mêmes choses, je peux parler des traitements, du scan de Vincent, tout ça. Je suis contente quand un papa de Leucan me demande des nouvelles de Vincent!

Ce qui est le fun avec Leucan c’est que toute la fratrie participe. Quand Vincent a commencé à être malade, ses sœurs fuyaient la maladie. Mais à Bromont [lors d’un week-end répit], mes trois enfants étaient là. Ça nous a permis de nous retrouver.

Investissement en recherche

La leucémie, avant, les gens en mouraient. Aujourd’hui je vois plein d’enfants qui ont ça et qui n’en sont pas morts. La recherche c’est hot! Par rapport au sarcome d’Ewing, il n’y en a pas beaucoup dans le monde, les cas sont étudiés partout dans le monde comme dans 200 hôpitaux, j’encourage ça. Il y a 6 mois, on a découvert, grâce aux recherches, le traitement que Vincent fait maintenant. S’il avait été malade il y a deux ans, le traitement aurait été complètement différent. La recherche, c’est plus qu’important.

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